Atelier presse écrite avec Louise Bartlett
Centre social de l’Île du Battoir et médiathèque de Beaurepaire
Chez nos voisins de la Drôme, le collège Denis Brunet s’est engagé pour une « quinzaine écologique ».
Plus le temps avance, plus la Terre est malade, avec la sécheresse et la pollution par exemple. On est à un stade où il faut inclure dans l’éducation des enfants comment prendre soin de la planète. Pendant la quinzaine écologique, tout le collège Denis Brunet s’est mis en mode écolo : les élèves, les professeurs, le service de restauration et la direction. Une séquence sur l’écologie était proposée dans certains cours, ou bien un temps pour donner nos opinions. Des intervenants ont expliqué que les eaux sont polluées, et qu’il y a des déchets sous la terre.
Les élèves interrogés sur la quinzaine écologique l’ont trouvée utile, pour la sensibilisation à propos de la pollution, qu’il faut cesser « si on veut survivre », et pour « remettre la planète en forme ». Certains ont changé leurs habitudes, d’autres n’y arrivent pas. Ils pensent que la pollution a un impact sur l’eau, jugeant qu’elle nous « pourrit de l’intérieur, les poissons mangent les déchets dans l’eau, et nous on mange le poisson, donc notre alimentation ne va pas ». Une autre élève trouve que l’eau a un goût bizarre. Ils pensent que le réchauffement climatique fait diminuer l’eau, rappelant que l’hiver a été très chaud cette année, et craignent qu’il y aura moins d’eau et moins de poissons. En même temps « ça évite les inondations ». « L’eau va s’évaporer. S’il ne pleut pas, l’eau n’augmente pas. Quand il faut chaud, il n’y a même plus d’eau dehors, c’est tout sec ».
Célénia Nehl